L'auteur : Luc LAMBS est directeur de recherche au CNRS en écohydrologie. Après sa thèse en chimie en 1984,il commence ses études à l'Inserm, en chimie appliquée à la médecine. Il y étudie les interactions entre les cations métalliques et des tétracyclines, afin de réduire les effets secondaires de ces antibiotiques. Il s'oriente ensuite vers l'analyse des complexes de cuivre et des anti-inflammatoires, pour inhiber la formation des radicaux libres. En 1998, il rejoint un laboratoire d'écologie du CNRS, pour faire de la chimie appliquée à l'écologie. Il participe d'abord à des programmes de recherche européens, sur les plaines inondables (Flobar 1 et 2) et sur l'agroforesterie (SAFE). Par la suite, il initiera et participera à plusieurs programmes de recherche sur le fonctionnement des ripisylves et des mangroves. Pour le suivi de l'eau dans ces zones humides, il développe différents outils analytiques avec notamment la création de la plateforme isotopique Shiva.
Pendant sa première année de thèse, il part trois mois en Inde et découvre la philosophie et la mythologie indiennes. Depuis, en parallèle de sa carrière de scientifique, il poursuit ses études sur la sagesse orientale, s'initie aux techniques de yoga et de médiation. Il continue également d'aller régulièrement en Inde. A partir de 1996, il écrit plusieurs articles sur la chimie occulte et l'éco-spiritualité pour la revue Le Lotus Bleu. Il a aussi donné des conférences à la Société théosophique en 2008 (Mangalore, Inde) et en 2004 – 2016 (Paris) il découvre l'Inde et la sagesse orientale qu'il n'aura de cesse d'étudier. En parallèle de sa carrière scientifique, il publie des articles dans la revue Le Lotus bleu et donne des conférences à la Société théosophique en Inde et à Paris.
Extrait : ''Enfin pour reboiser la région et faire revenir la faune sauvage, tout Bishnoï avait l'obligation de planter des arbres et d'aller les arroser chaque jour. Jambhoji créa ainsi très rapidement de verdoyantes oasis. Elles éblouirent les paysans et les voyageurs, qui constatèrent que les Bishnoïs, même pendant les pires sécheresses, avaient toujours de quoi survivre, contrairement aux autres habitants de la région, car l'une des recommandations majeures était : ''Ne consomme pas plus que tu as besoin.''
Luc Lambs, l'auteur de ''La science sacrée ou la conscience de l'atome'' - Exploration sur la formation du cosmos, des atomes et de l'émergence de la conscience écologique au travers de l'approche scientifique et de l'approche mystique orientale - paru aux Editions La Vallée Heureuse, dans la collection ''Spiritualité'', nous invite à le suivre dans un véritable voyage pour saisir les parallèles existants entre la science et la sagesse orientale . Il nous amène aussi à un aperçu de l'apport de l'écologie. Ce qui inévitablement conduit notre conscience à une autre approche de l'environnement.
Le but de cet ouvrage est de montrer le lien possible entre la science et la sagesse occidentale. Un vaste sujet penserez-vous peut-être ? On peut y entrevoir deux modes de pensées, l'occidental et l'oriental et même le comparer à l'hémisphère gauche du cerveau celui qui dicte la raison et l'hémisphère droit qui permet l'intuition, ou y voir l'interaction de la science et du mystique.Un lexique pour se familiariser avec les définitions des mots sanskrits figure à la fin de ce livre.
Qui n'a jamais entendu parler de la force et de la matière, des particules, des ondes, du mouvement et du repos, d'existence et de non-existence, de repères cartésiens et d'espace courbe ? Ce ne sont là que quelques-uns des concepts opposés ou contradictoires, dépassés en physique moderne.
Cet ouvrage ''' fait référence à deux livres anciens : La Science sacrée de Swami Yukteswar (titre original : Kaivalya Darsanam, 1894) et La Conscience de l'atome d'Alice Bailey (Editions Lucis Trust, 1922).
Le premier avait pour vocation de démontrer la similitude et l'harmonie entre les textes de la Bible et le Samkhya de la philosophie indienne. Il s'articule en 4 chapitres, suivant les 4 stades de développement de la connaissance, de l'explication des Yugas et les grands cycles astronomiques indiens. Le deuxième livre présente les relations entre la matière et la conscience et l'évolution de conscience.
Nombre de théologiens étaient hostiles aux découvertes d'Einstein. Ils pensaient qu'il voulait prouver la non-existence du divin. En fait, Einstein voulait montrer que tout ce qui est manifesté relève d'une dimension supérieure, ''de religion cosmique''.
Le lien entre la philosophie occidentale et la sagesse orientale remonterait à l'Antiquité. Des rencontres entre grands scientifiques ont contribué à renforcer ce lien au XXème siècle et avec des penseurs orientaux, souvent indiens : le physicien Nicolas Tesla qui travaillait sur les courants alternatifs de fréquence élevée, le spécialiste indien du Védanta, Swami Vivekananda, Werner Heisenberg, le philosophe et artiste Rabrindranath Tagore, Einstein, Rabindranath Tagore, Fritjof Capra, Krishnnamurti, David Bohm, Jiddu Krishnaamurti etc...
L'histoire de l'Occident est surtout liée aux différentes civilisations qui ont prospéré autour du bassin méditerranéen avec les Mésopotamiens, les Egyptiens et les Phéniciens, la Grèce, Carthage, Rome et des contacts avec l'Asie et les Perses.
Aujourd'hui, grâce à la redécouverte de la sagesse et de la philosophie orientale, on assiste à une stimulation pour les idées nouvelles en Occident sur les sciences d'avant-garde, avec aussi l'émergence des techniques de yoga et de méditation.
Existe-t-il un lien entre la science et la spiritualité ? On s'est longtemps interrogé sur ce point. Grâce à la physique quantique, la modification de notre perception du temps, de l'espace, de l'énergie et de la matière, de la redécouverte de la philosophie orientale, on est parvenu à établir qu'un lien entre matière et conscience était possible.
La science sacrée serait la redécouverte d'une énergie féminine qui à elle seule peut nous faire sentir et respecter les lois de la nature et ramener un peu plus de paix sur la terre, nous offrant une meilleure compréhension de notre vaste monde, de la tolérance, du respect et un meilleur partage des ressources. Notre planète et ses habitants ne s'en porteraient que mieux avec un mental plus solide et une autre manière d'utiliser tous nos sens. La vie en définitive serait beaucoup moins compliquée, plus joyeuse et plus lumineuse, plu agréable avec une réalité différente de ce que l'on perçoit.. ll serait peut-être utile de prendre le temps d'y réfléchir... ?
Extrait : ''On peut citer le cas du biologiste Matthieu Ricard, qui est devenu l'interprète français du dalaï-lama depuis 1989. Il a écri t de nombreux livres pour faire connaître la philosophie du bouddhisme et participe également à des travaux de recherche qui étudient l'influence de l'entraînement de l'esprit à long terme sur le cerveau, qui se poursuivent dans des universités aux Etats-Unis et en Allemagne.''
Editions LA VALLE HEUREUSE
TOULOUSE
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